I/ CE QUE DIT LA LOI DE L’ATTRACTION
La loi de l'attraction est une l'une des grandes loi de l'univers. Elle dit que l'énergie précède la matière et que par cela même, nos pensées sont à la base de toutes manifestations, elles créent notre réalité. C’est donc ainsi que nous attirons à nous ce à quoi nous pensons le plus souvent.
Cela implique, et c’est logique, que pour obtenir ce que l’on veut, il faut penser à ce qu’on désire vraiment !
II/ PENSER A CE QUE L’ON VEUT
Pour penser à ce que l’on veut, il faut déjà savoir ce que l’on veut…
C’est simple et pourtant pas si facile ! Ici nous faisons souvent face à 2 difficultés :
- Nous ne savons pas pourquoi nous voulons ce que nous voulons : en fait nous ne savons pas ce que nous voulons vraiment !
- Nous réfléchissons à l’envers en affirmant ce que l’on « ne veut pas » plutôt que ce que l’on veut et ça nous pousse à ressentir l'inverse de ce que lon voudrait, en terme de manque plutôt que de présence.
III/ SAVOIR CE QUE L’ON VEUT
Conditionnés depuis très jeunes à nous concentrer principalement sur l’aspect matériel des choses, nous nous imaginons que savoir ce que nous désirons signifie par exemple savoir combien d’argent doit se trouver sur notre compte. Le problème, c’est que ce genre de détail n’est pas ce que nous désirons vraiment.
Ce que nous voulons ultimement c’est le bonheur, mais qu’est-ce que le bonheur ? Quelque chose qu’on peut toucher du bout des doigts ? Non, le bonheur c’est quelque chose d’impalpable, c’est une énergie qu’on ressent en nous.
Souvenez-vous, l’énergie précède la matière : c’est l’envie, le désir, l’attention… soit l’énergie qu’on porte à quelque chose qui nous permet de l’obtenir. Et c’est la joie, la gratitude, la reconnaissance que l’on ressent, bien plus que ce quelque chose qu’on a obtenu, qui nous fait expérimenter ce bonheur.
Prenons l’exemple d’une voiture de sport qu’on aura désirée pendant longtemps et pour laquelle on aura consacrée beaucoup d’énergie à travailler et d’attention à économiser. Si on l’a obtenue, c’est en fait tout d’abord parce qu’on en a rêvé ! On en a rêvé pour de vrai, on s’est imaginé dedans, on a entendu le bruit du moteur gronder dans nos oreilles imaginaires, on a même touché le cuir du volant sous nos doigts imaginaires… on a souri de notre sourire imaginaire et celui-là s’est aussi dessiné sur notre visage. On a conduit à toute vitesse dans notre tête et on s’est senti libre et en vie pour de vrai… c’est avant tout toute cette énergie qui nous a permis de prendre les actions nécessaires pour obtenir cette voiture (travailler, économiser, chercher) … Et si aujourd’hui elle dort dans notre garage et nous apporte du bonheur, ce n’est pas pour ce qu’elle est vraiment, c’est pour les expériences qu’elle nous permet de vivre et les émotions et sentiments que ces derniers éveillent chez nous !
Commencez donc par définir votre bonheur en terme d’émotions et de sentiments et concentrez-vous chaque jour à penser à ceux-ci, à vous questionner sur ce que ces émotions sont et sur ce qu’elles peuvent vous permettre d’expérimenter dans votre vie.
Donnez une attention particulière à décrire précisément ce que vous ressentez quand vous vibrez de bonheur :
Sérénité, acceptation, liberté, compréhension, compassion, créativité, inspiration, passion, joie, dynamisme, douceur, calme, …
IV / REFLECHIR DANS LE BON SENS
Réfléchir dans le bon sens c’est affirmer ce que l’on veut.
Je suis seul(e), je suis gros(se), je suis malade : lorsque ces faits sont matérialisés dans notre vie, combien de fois par jour répétons-nous ces affirmations dans notre tête ?
Et, si vous m’avez bien suivi jusqu’ici, vous aurez compris que répéter ce genre de phrases en boucle dans notre tête ou à voix haute, s’en plaindre et s’en soucier autant que nous le faisons ce n’est certainement pas cela qui va nous apporter ce que l’on veut, c’est-à-dire l’inverse !
Il faudrait donc affirmer l’inverse :
Je suis seule deviendrait : je suis en couple ou je suis accompagné(e)
Je suis gros(se) deviendrait : je suis mince
Je suis malade deviendrait : je suis en bonne santé…
Aujourd’hui, nous avons presque toutes et tous déjà entendu parler de la pensée positive mais vous admettrez qu’elle a ses limites, n’est-ce pas !?
Difficile de se prendre au sérieux lorsqu’on affirme des choses auxquelles on ne croit pas (car on ne croit que ce que l’on voit et cette réalité n’est pas ce que nous avons sous les yeux)… En fait, parfois c’est même encore pire. Se regarder dans la glace et se répéter « je suis mince » alors qu’on se trouve gros(se) et qu’on se sent gros(se) peut nous rendre encore plus mal. On sent bien qu’on se ment à nous-même dans ce genre de situation et, plus ou moins inconsciemment, ça peut vraiment nous rendre plus anxieux(se), nous mettre en rogne et nous monter contre nous-même…
Mais j’ai une solution très simple et efficace pour vous !
N’affirmez rien, posez-vous des questions plutôt !
- Et si j’étais heureux(se) qu’est-ce que je vivrais ? Qu’est-ce qui serait différent dans mon quotidien ? Qu’est-ce que je ferais de différent ? Est-ce que je serais amoureux(se) ?
- Et si je m’acceptais, que j’étais compréhensif(ve) et tolérant(e) avec moi-même comment est-ce que je me parlerais ? Est-ce que le fait de m’aimer un peu plus, un peu mieux et d’être plus patient(e) avec moi-même me permettrait de transformer mon corps et de mincir ?
- Et si j’avais confiance en la vie et en la perfection des expériences qu’elle m’apporte, à quoi est-ce que je penserais et à quoi est-ce que je ne penserais plus ? Et si j’avais foi en le fait que toutes les difficultés que je vis sont mises sur mon chemin uniquement parce-que je suis capable de les dépasser et qu’à chaque fois que cela arrive je me dépasse, est-ce que je retrouverais la santé ?
V/ Récapitulatif
Nos croyances (ces pensées répétées maintes et maintes fois inconsciemment dans notre tête) se révèlent vraies dans notre réalité non pas parce qu’elles sont une réalité immuable mais seulement parce que nous les pensons vraies, seulement parce que nous croyons en elles ; car comme je le disais au début : nos pensées créées notre réalité.
Avez-vous envie de croire que vous êtes seul(e), gros(se) ou malade ? Non ! Pourtant, pour l’instant c’est ce qui est sous vos yeux et vous y croyez.
Mais les apparences sont plutôt trompeuses, et ce que l'on perçoit sous nos yeux n'est qu'une infime partie de la réalité, alors plutôt que d’affirmer des choses qui ne vous plaisent pas et qui ne sont qu'une infime partie de la vérité, soyez curieux, posez-vous des questions !
Soyez suffisamment curieux pour vous ouvrir aux réponses que vous recevez et pour avancer maintenant dans la direction qu’elles vous donnent plutôt que de douter, d’attendre qu’il y ait mieux ou plus convaincant. Chaque évolution se fait par étape, petit pas par petit pas, et, le deuxième, le troisième et tous les pas suivants ne peuvent se déployer sans le premier !!
Ce que vous voulez c’est être heureux. Qu’avez-vous besoin pour cela ? Vous sentir bien avec vous-même ? Bien dans votre corps ? Bien avec les autres ?
Ce que vous voulez c’est être serein(e). Qu’avez-vous besoin pour cela ? Vous accepter, accepter ce qui est, accepter les autres, avoir confiance en vous et en la vie ?
Soyez curieux, reconnaissez que vous ne savez pas et posez-vous ces questions magiques "Et si ... ?" ; elles vous permettront de vous ouvrir et de commencer à émettre les vibrations en accord avec ce que vous voulez, ainsi la loi de l'attraction pourra vous l'apporter !
Pour les curieux et les nouveaux curieux qui aimeraient en apprendre davantage sur cette loi de l’attraction, je vous invite à visionner ce documentaire sur YouTube.
Et ensuite à lire cet article qui vous permettra de revenir sur Terre et d’adopter encore un autre point de vue par rapport à cette loi de l’attraction.
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